La réponse architecturale
est contextuelle

Suresnes, au 16 rue des Parigots, le terrain se caractérise par son site en forte déclivité. Il est situé dans le périmètre inscrit des monuments historiques du Mont Valérien, un site dont
la valeur historique et patrimoniale rayonne en France. 

La situation exceptionnelle de ce terrain offre des vues imprenables sur Paris et le quartier d’affaires de la Défense au pied du parc du Mont-Valérien et de ses terrains sportifs. 

Le projet répond à la déclivité du site par une stratification de toits terrasses. Végétalisés
pour faire écho à un contexte urbain paysagé ce crescendo volumétrique a un double enjeu : l’intégration urbaine et une organisation spatiale permettant de profiter
des vues offertes par ce site.   

La volumétrie s’inscrit dans le volume capable défini par les règles du PLU en vigueur.

Depuis la rue des parigots, la maison semble posée sur un socle pour s’élever et pouvoir composer avec la déclivité
du site et permettre aux vues et la lumière d’entrer. 

La déclivité naturelle du terrain permet de composer avec un jardin à plusieurs niveaux intégré dans l’architecture. 

Une toiture composée de couvertures végétalisées assure l’intégration du projet à son environnement, offrant des espaces traversants, profitant des vues sur le jardin et des vues vers la Défense. 

Côté rue des Parigots, pour préserver l’intimité du propriétaire (car la parcelle fait face au square Général Ferrié), la façade est composée d’une double peau ajourée en terre cuite de couleur verte faisant écho au paysage verdoyant du Mont-Valérien. 

Celle-ci intègre une grande ouverture sur une terrasse végétale au premier étage de la maison.